CHEZ NOUS,

On défend une écologie du terroir et de proximité
L’écologie est l’un des enjeux majeurs du XXIe siècle : la préservation de la planète, confrontée à la pollution, au réchauffement climatique, à la surconsommation, passera par une adaptation de nos habitudes.
Nous ne voulons cependant pas de l’écologie punitive appliquée par les écologistes et leurs alliés qui, en réalité, appliquent une politique de gauche défavorable aux innovations et au génie humain, mais qui sont favorables à la mondialisation et à ses mouvements, autrement plus polluants.
Nous devons au contraire appliquer une écologie véritable, c’est-à-dire une écologie du terroir, locale, de proximité, une harmonie entre l’homme et la nature (et non pas l’opposition entre les deux), une valorisation de nos paysages et de nos grands espaces.
Les produits du terroir doivent être valorisés : ils sont non seulement plus sains que les produits venant de circuits alimentaires se défiant des frontières, mais ils font vivre nos producteurs. Les collectivités locales et institutions publiques devront s’approvisionner exclusivement de produits locaux. Un chèque- terroir permettra aux employeurs de rétribuer, de façon écologique et avantageuse, leurs employés, en plus du salaire versé.
Les éoliennes, qui gâchent les paysages, tout en étant une solution coûteuse et pas si écologique que ne le prétendent leurs partisans, ne doivent pas fleurir dans les campagnes. L’énergie nucléaire est, à ce titre, plus durable et moins chère. Nous devrons poursuivre les recherches afin de garantir notre autonomie énergétique.
Nos villes doivent devenir des poumons économiques où il fait bon vivre : la voiture ne doit pas y être bannie, mais une offre de transports publics de qualité doit y être développée et encouragée. Nous devrons également lutter contre les déchets et l’obsolescence programmée.
Notre vision de l’écologie est pragmatique et non punitive !

Instauration d’une écologie du terroir en revalorisant nos campagnes et nos agriculteurs

  • Valoriser l’agriculture extensive afin de favoriser des produits de qualité et respectueux des ressources de la nature
  • Classer les paysages remarquables afin de les intégrer dans notre patrimoine commun à protéger
  • Resserrer l’habitat en zone rurale
  • Privilégier nos agriculteurs au travers de la commande publique (cantines scolaires, administrations, etc.)
  • Contraindre la grande distribution à acheter des produits à nos agriculteurs à un prix raisonnable
  • Contraindre la grande distribution à réserver une partie de leur rayonnage aux producteurs locaux
  • Lutter contre le gaspillage alimentaire dans la grande distribution
  • Instaurer une réglementation sur les styles architecturaux et utilisation des matériaux locaux en construction
  • Lutter contre la pollution sonore et visuelle dans nos villes et nos campagnes : bruits divers, graffitis, déchets…
  • Interdire l’huile de palme, cause de déforestation massive
  • Interdire les hormones de croissance pour les animaux
  • Lutter contre l’obsolescence programmée en sévissant contre les entreprises y ayant recours par une interdiction de vente

Seuls 11,68% de la consommation d’énergie des Belges sont aujourd’hui couverts par les énergies vertes alors que l’État a décidé d’en finir avec le nucléaire. Un choix irresponsable !

Une politique énergétique efficace

  • Prolonger les centrales nucléaires et investir dans la recherche pour des centrales de nouvelles générations
  • Favoriser la diversification du mix énergétique afin de limiter au maximum la dépendance de notre pays
  • Limiter drastiquement les permis accordés aux éoliennes
  • Diversifier les sources d’énergie afin de ne pas être tributaire d’un seul type d’approvisionnement : nucléaire, solaire, et biomasse.