Nous affirmons que la Wallonie n’est pas une démocratie. Sondages opaques où une partie des répondants ne figurent nulle part, censure médiatique évidente, absence de pluralisme démocratique, pressions et intimidations : voici le lot quotidien que vivent ici ceux qui refusent le diktat immigrationniste, l’islamisation de leur région et la gestion catastrophique des deniers publics.
La situation est alarmante !
Alors que l’ensemble des partis politiques traditionnels se sont accordés sur une Charte de la démocratie, négociée en catimini et sans transparence aucune, nous vivons dans un État qui pourchasse ses opposants, laisse faire les antifas qui agressent et empêchent des réunions publiques, bafouant ainsi les droits démocratiques les plus élémentaires.
La naissance de Chez Nous en octobre 2021 n’a été couvert médiatiquement qu’à l’occasion et de manière éphémère grâce à la venue de Jordan Bardella, président du Rassemblement national ainsi que de Tom Van Grieken, président du plus grand parti flamand en terre wallonne.
Depuis lors, silence radio.
La panique de voir ainsi deux présidents de parti d’opposition d’envergure soutenir la création d’une formation similaire en Belgique francophone a dû en retourner plus d’un dans les salles de rédaction des médias subventionnés par un pouvoir politique qui se croit tout permis. Si en Belgique francophone, la censure règne, en Flandre en revanche, de l’autre côté de la frontière linguistique, les débats ont cours et permettent à chacun de s’exprimer. Ce 17 octobre 2022, nous officialisions le soutien officiel de Geert Wilders, président du premier parti d’opposition aux Pays-Bas. La presse n’en a pas dit un mot, alors qu’il s’agit pourtant d’un fait politique majeur en Wallonie.
Nous vivons donc une situation inquiétante, où la parole de l’opposition est muselée sans complexe par ceux qui tiennent le crachoir médiatique. En bafouant les principes démocratiques les plus élémentaires, nous en appelons à une véritable prise de conscience. À l’heure où la multiplication des faits divers, plus sordides les uns que les autres à l’instar du massacre de la petite Lola, doivent se traiter comme des faits de société à part entière, soulevant ainsi la question de l’insécurité, de l’immigration massive et de l’islamisation de nos pays, le système politico-médiatique belge francophone fait comme si cela n’existait pas. En dépit du bon sens, celui-ci prend la décision de nous engager dans une voie que nombreux sont ceux à refuser catégoriquement. Les Wallons sont massivement favorables à une régulation plus sévère des flux migratoires et refusent également les accommodements raisonnables que la France combat mais que la Belgique est forcée d’accepter sans qu’aucun débat n’ait jamais lieu.
Alors que la poussée du camp patriote s’opère partout en Europe, permettant de belles victoires comme dernièrement en France avec l’arrivée de 89 députés Rassemblement national sur les bancs de l’Assemblée nationale, ou encore, en Suède et en Italie, la Belgique francophone semble être placée hors du temps, comme coupée des grandes transformations politiques qui ont lieu partout ailleurs en Europe.
Nous sommes déterminés à changer les choses. En dépit de la censure, du cordon sanitaire et des interdictions, nous sommes là ! De nombreux Wallons nous rejoignent chaque jour, de Charleroi à Liège en passant par notre capitale régionale, Namur.
Demain, nous avons l’espoir de mettre la Wallonie à l’heure européenne : celle des patriotes qui gagnent et qui défendent leur identité et leur civilisation !